Les oiseaux
de Daphné du Maurier
Format poche / xx pages / xx€
Présentation de l'éditeur :
Au coeur de la nuit, le vent d'est cingle la falaise. Entre deux
rafales, des nuées d'oiseaux cognent aux vitres. Mais ce n'est pas la
peur qui les précipite avec une telle force vers le monde des hommes...
On retrouvera ici - et pas moins terrifiant - le récit qui inspira son chef-d'oeuvre au maître de l'angoisse, Alfred Hitchcock. Et la grande romancière anglaise, auteur de Rebecca et L'Auberge de la Jamaïque, nous entraîne vers le mystère à petits pas, à petites touches, au gré d'une écriture subtile, singulièrement moderne.
On retrouvera ici - et pas moins terrifiant - le récit qui inspira son chef-d'oeuvre au maître de l'angoisse, Alfred Hitchcock. Et la grande romancière anglaise, auteur de Rebecca et L'Auberge de la Jamaïque, nous entraîne vers le mystère à petits pas, à petites touches, au gré d'une écriture subtile, singulièrement moderne.
Mon avis :
Ayant vu le film d'Hitchcock du même nom, j'étais
curieuse de découvrir la nouvelle qui l'inspira. Celle-ci est très bien
écrite. L'auteur instille un climat de tension et de stress de plus en
plus étouffant au fil des pages. L'histoire est intéressante et offre
des détails supplémentaires au film qui rendent l'intrigue mieux structurée et plus compréhensible.
Le personnage principal est efficace et intelligent. Perspicace, il semble être le seul à se rendre compte de ce qui est en train de se produire.
Quant à la fin, chacun peut l'interpréter à sa façon comme dans la plupart des livres de Daphné du Maurier : de manière optimiste ou pessimiste.
C'est une nouvelle à découvrir, ne serait-ce que pour la culture, toutefois, je doute que vous soyez déçus.
Le personnage principal est efficace et intelligent. Perspicace, il semble être le seul à se rendre compte de ce qui est en train de se produire.
Quant à la fin, chacun peut l'interpréter à sa façon comme dans la plupart des livres de Daphné du Maurier : de manière optimiste ou pessimiste.
C'est une nouvelle à découvrir, ne serait-ce que pour la culture, toutefois, je doute que vous soyez déçus.
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