La Vie devant Soi
de Romain Gary (Émile Ajar)
Éditions Belin Gallimard
Collection Classico
Sortie le 10 septembre 2009
Format poche / 249 pages / 6.20€
Présentation de l'éditeur :
Depuis 1975, date de la parution de La Vie devant soi, la
profonde humanité et la truculence de Madame Rosa et de Momo ne cessent
d'émouvoir les lecteurs. Lisez ce roman. Vous y découvrirez des
personnages hauts en couleur et profondément humains, la belle histoire
d'un jeune garçon arabe et d'une vieille dame juive, une écriture d'une
grande inventivité et le dernier mot de Momo : «il faut aimer».
Mon avis :
Voici un livre poignant qui aborde beaucoup de sujets qui sont encore aujourd'hui d'actualité.
Momo est un jeune garçon arabe qui vit chez Madame Rosa, une juive. Cette dernière accueille chez elle des enfants de prostituées en échanges de contributions financières. Momo nous raconte son histoire, son enfance et tout ce qu'il a pu vivre avec Madame Rosa, le tout avec les mots d'un enfant, un enfant qui n'a jamais été scolarisé.
En effet, le style d'écriture peut être assez difficile à appréhender, surtout au début. On commence avec des phrases mal construites, avec un style plutôt parlé, puis cela va évoluer en même temps que va grandir Momo, aussi bien en âge qu'en se confrontant à la vie.
L'auteur aborde de nombreux problèmes de société et on se rend compte que, bien que quasiment 60 ans séparent nos deux époques, on retrouve encore aujourd'hui les même problématiques.
C'est donc un livre qui est très touchant, qui met le lecteur en face des problèmes de la société qui ne sont pas jolis à affronter, le tout à travers les yeux innocents d'un enfant. La fin est particulièrement bouleversante, âmes sensibles, vous êtes averties.
Momo est un jeune garçon arabe qui vit chez Madame Rosa, une juive. Cette dernière accueille chez elle des enfants de prostituées en échanges de contributions financières. Momo nous raconte son histoire, son enfance et tout ce qu'il a pu vivre avec Madame Rosa, le tout avec les mots d'un enfant, un enfant qui n'a jamais été scolarisé.
En effet, le style d'écriture peut être assez difficile à appréhender, surtout au début. On commence avec des phrases mal construites, avec un style plutôt parlé, puis cela va évoluer en même temps que va grandir Momo, aussi bien en âge qu'en se confrontant à la vie.
L'auteur aborde de nombreux problèmes de société et on se rend compte que, bien que quasiment 60 ans séparent nos deux époques, on retrouve encore aujourd'hui les même problématiques.
C'est donc un livre qui est très touchant, qui met le lecteur en face des problèmes de la société qui ne sont pas jolis à affronter, le tout à travers les yeux innocents d'un enfant. La fin est particulièrement bouleversante, âmes sensibles, vous êtes averties.
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