"À
mon tour, je l'observai. Le dénommé Jéricho Barrons n'occupait pas
l'espace, il le saturait littéralement. Avant son arrivée, la pièce
était remplie de livres. À présent, elle était emplie... de lui.
Il devait avoir une trentaine d'années et mesurait environ un mètre quatre-vingt-dix. Sa chevelure était sombre et lustrée, sa peau dorée, ses yeux d'un noir éclatant, et son visage aux traits purs et au modelé parfait aurait inspiré bien des peintres.
D'où venait cet homme ? Certainement pas d'Irlande, si j'en croyais son apparence, aussi exotique que son accent. Sans doute avait-il des ancêtres à travers toute l'Europe, depuis le bassin méditerranéen jusqu'à la mer du Nord. Je n'aurais pas été surprise d'apprendre que quelques gouttes de sang barbare coulaient dans ses veines !
Il était vêtu avec l'élégance sans ostentation de ceux qui n'ont rien à prouver. Costume italien à la coupe parfaite, chemise blanche sans un faux pli, cravate aux coloris discrets et bottines de cuir fin.
Dire qu'il était beau serait inexact. Il rayonnait d'une virilité hors du commun. Tout en lui vibrait de sensualité : ses yeux où brillait la promesses d'étreintes audacieuses, sa bouche pleine faite pour les baisers les plus brûlants, son attitude fière et provocante... En un mot, il était exactement le genre d'homme que j'avais toujours fui comme la peste."
Il devait avoir une trentaine d'années et mesurait environ un mètre quatre-vingt-dix. Sa chevelure était sombre et lustrée, sa peau dorée, ses yeux d'un noir éclatant, et son visage aux traits purs et au modelé parfait aurait inspiré bien des peintres.
D'où venait cet homme ? Certainement pas d'Irlande, si j'en croyais son apparence, aussi exotique que son accent. Sans doute avait-il des ancêtres à travers toute l'Europe, depuis le bassin méditerranéen jusqu'à la mer du Nord. Je n'aurais pas été surprise d'apprendre que quelques gouttes de sang barbare coulaient dans ses veines !
Il était vêtu avec l'élégance sans ostentation de ceux qui n'ont rien à prouver. Costume italien à la coupe parfaite, chemise blanche sans un faux pli, cravate aux coloris discrets et bottines de cuir fin.
Dire qu'il était beau serait inexact. Il rayonnait d'une virilité hors du commun. Tout en lui vibrait de sensualité : ses yeux où brillait la promesses d'étreintes audacieuses, sa bouche pleine faite pour les baisers les plus brûlants, son attitude fière et provocante... En un mot, il était exactement le genre d'homme que j'avais toujours fui comme la peste."
p.58-59 Les Chroniques de MacKayla Lane, tome 1 : Fièvre Noire de Karen Marie Moning
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire